En 1989, paraissait, dans la revue Nature, l'article de Charles Peters, Alwyn Gentry, et Robert Mendelsohn dans la revue Nature qui allait changer la perception générale sur les PFNL. Estimer ce que pouvait rapporter en revenus nets un hectare de forêt amazonienne par la vente de différents PFNL présents (essentiellement fruitiers dans ce cas) et comparer à ce que rapporterait l'exploitation du bois. L'écart si faible, 695 $ pour le premier choix et seulement 1000 $ pour le second, démontrait l'intérêt économique de préserver la forêt sur pied. Les résultats furent discutés ainsi que la méthode utilisée, mais d'autres études suivirent confirmant l'hypothèse avancée..(à suivre)
Valuation of an Amazonian rainforest